'Home is where one starts from' est un projet qui évolue avec le temps.
C'est une tentative de captiver l'espace d'enfance. Dans ce premier volet,
« le Polder » je visualise l'expérience enfantine d'un paysage.
La distorsion et la lumière excentrique créent un champ de tension,
qui s'approche de l'enchantement du " soupçonné ", du " non vu "
de l'imagination de l’enfant.